Politique gouvernementale vis-à-vis de l’open source

Plusieurs nations dans le monde ont mis en place des cadres politiques pour encadrer l’open source. Ce mouvement qui est né il y a une vingtaine d’années à peu près n’a pas cessé de grandir. En comparaison avec les jeux d’argent et de casino, rien n’est laissé au hasard. Plusieurs ministères sont assignés à la gestion de ces jeux, avec des objectifs bien définis. Concernant l’open source, plusieurs usages sont faits de ces logiciels dans les entreprises et administrations publiques. L’impact de l’open source n’est pas limité à un pays, et c’est la raison pour laquelle les Etats en tirent de multiples avantages. 

Précision et durabilité 

De plus en plus de gouvernements mettent en place des politiques liées à l’open source. L’optique est de faciliter la vie des millions de citoyens qui utilisent ce genre de technologie. Avec ces logiciels dont le code source est libre, la fiabilité des fonctions dont ils sont équipés est facilement vérifiable. Par ailleurs, n’importe quel utilisateur doté de quelques compétences en la matière peut procéder à des corrections ou des ajouts dans le code source si nécessaire. Les politiques mises en place par les Etats permettent les soumissions aux projets open source plus aisées. Les développeurs peuvent alors constituer des communautés plus actives et soudées sur les différentes plateformes logicielles. 

Le point de départ de plusieurs concepts

D’un autre côté, les citoyens ont plus de moyens de s’assurer de la transparence de toutes les actions des gouvernants. L’une des applications les plus courantes est la manière dont sont utilisés les deniers publics. Par ailleurs, l’open source a permis l’émergence de nouveaux concepts comme l’open data, l’open gouvernement et autres. 

Le contrôle budgétaire 

Les dépenses dans le secteur informatique constituent des axes clés dans l’action de plusieurs Etats. C’est pour cela qu’il est important pour eux de disposer de moyens de contrôle de ces dépenses publiques. Les logiciels propriétaires dont se servent certains démembrements du gouvernement coûtent assez cher. L’open source est donc une meilleure alternative, car elle permet d’avoir des logiciels équivalents même s’ils ne sont pas gratuits. Pour concevoir ou acquérir les logiciels open source dont-ils ont besoin, les gouvernements procèdent le plus souvent à la mise en concurrence des fournisseurs. A l’opposé, ils préfèrent se référer à des partenaires certifiés quand il s’agit des logiciels propriétaires. 

Utilisable sur plusieurs postes

L’open source possède un avantage qui lui permet d’être utile dans la formation. Le fait de pouvoir s’en servir sur de multiples ordinateurs permet de gagner du temps. Il en découle de manière logique l’accroissement du nombre de techniciens compétents, car le temps d’apprentissage est plus court. 

La mise en concurrence 

Dans le cas des marchés publics, les Etats mettent en concurrence les différents fournisseurs. Tout le monde peut soumissionner en ce qui concerne les logiciels libres. A l’opposé avec les logiciels propriétaires, seuls les propriétaires peuvent se positionner. Les éditeurs de logiciels open source sont donc, d’une certaine manière, contraints de se dépasser à tous les instants pour gagner. Les fabricants ou les propriétaires de logiciels non libres sont indispensables pour apporter des solutions aux besoins contenus dans l’appel d’offres. 

En général, la mise en concurrence a une incidence non négligeable sur les coûts pratiqués par les concessionnaires. C’est de cette manière que les gouvernements procèdent aux meilleurs choix. Au vu de tous ces éléments, il est bel et bien possible de se rendre compte que des politiques gouvernementales existent effectivement en ce qui concerne l’open source.